Comme vous l’aviez bien compris dans l’épisode précédent, mon objectif est très orienté « argent » cette année. C’est normal, l’argent doit rentrer si je veux nourrir ma grande valeur LIBERTÉ !

Je me suis donc vraiment penchée sur la question et j’ai décidé de mettre les bouchées doubles sur ce domaine de vie. J’apprends donc désormais à gagner mon argent en faisant des choses qui, d’abord, me plaisent vraiment, et puis qui m’apporteront véritablement des revenus stables pour l’avenir. En fait, mon esprit s’est ouvert à un tout autre mode de rémunération qui fonctionne quasiment à l’opposé de mon schéma d’avant. Le fameux système classique que nous avons quasiment tous appris sans se poser de questions : travaille dans une entreprise, échange ton temps et ton expertise contre de l’argent, paye tes charges et tes impôts et avec ce qu’il te reste, dépense et on verra bien !!

Si j’avais découvert ces différentes opportunités en étant encore salariée, j’aurais pu anticiper et préparer ma sortie de manière beaucoup plus sereine, plutôt que de me lancer sans solution immédiate pour gagner ma vie.

Bon, l’avantage est d’y consacrer aujourd’hui beaucoup plus de temps que si j’avais démarré en bossant à temps plein.  Cependant, j’encourage tous les salariés, heureux ou pas, à travailler sur vos rentrées d’argent en plus de votre salaire. N’attendez pas l’âge de la retraite pour vous dire : « Ah oui, j’ai que ça pour vivre maintenant ?!… Mince si j’avais su. »

Alors, l’idée est la suivante : avoir plusieurs activités qui permettent de démultiplier les sources de revenus. N’ayez crainte, je ne suis pas en train de me disperser ! Vous pourriez légitimement vous dire : « Cécile, on y capte plus rien ! Tu te formes à la PNL et au coaching pour remplir ta mission d’aider les autres, puis tu nous parles de marketing relationnel et là, tu rajoutes l’immobilier ! »

Je suis multi-casquette effectivement, une « slasheuse » comme me l’a appris une copine entrepreneuse ! Je ne veux pas me cantonner à une seule activité pour plusieurs raisons. D’abord parce que j’ai trouvé plusieurs activités qui me plaisent et je trouve dommage d’en sacrifier une pour une autre. Ensuite comme je vous l’ai déjà dit, je trouve bien plus intelligent de me déployer pour maximiser mes chances de succès. Et enfin, je vous rappelle que les domaines que j’ai choisis sont très complémentaires les uns des autres.

L’accompagnement des personnes que ce soit, des particuliers ou bien des équipes en entreprise, est une activité que J’ADORE. J’aurais tellement aimé être soutenue, orientée, guidée quand j’allais mal dans mon boulot, que je me sens investie de cette mission de vie. Mais voilà, je détesterais plus que tout, avoir écrit sur mon front : « J’AI FAIM !! TU VEUX PAS ÊTRE MON CLIENT ?! » Non, pas question. Je veux pratiquer cette activité le plus sereinement possible et à mon rythme.

Je n’envisage pas le coaching à la chaine pour boucler mes fins de mois.

Ensuite, le marketing relationnel est basé avant tout sur les relations humaines (on s’en serait douté !). Sans un minimum de développement personnel, on abandonne très vite. C’est bien le drame de cette activité. Si un distributeur indépendant n’est pas dans une démarche de dépassement de soi parce qu’il a appris à le faire ou bien s’il n’est pas entre de bonnes mains avec son sponsor, l’abandon est inéluctable. Moi-même, j’ai bien failli arrêter une bonne dizaine de fois depuis mon démarrage. C’est là où ma formation de coach prend toute sa valeur : pour mon propre accompagnement et pour celui de mon équipe.

Enfin, l’immobilier est une excellente voie pour se construire une rente qui apporte un niveau de vie et pour accomplir mes autres activités de manière beaucoup plus détendue.

Voilà, j’ai construit tout ça comme une grande après de longues réflexions et surtout après m’être documentée un max sur la question. Et surtout, je ne voulais surtout pas me retrouver dans le syndrome de l’entrepreneur habité par l’angoisse du « Et si ça marche pas mon truc? ».

C’est une nouvelle manière d’aborder l’entrepreneuriat : ne pas compter exclusivement sur son activité principale au risque de devenir prisonnier, voire esclave de son boulot.

Là, j’aurais vraiment tout raté dans ma quête de liberté !

Et cette réflexion a germé en rencontrant des entrepreneurs dans des circuits de réseautage. J’ai réalisé à quel point certains se retrouvent coincés dans le stress et l’angoisse que leur produit ou service ne décolle pas. Ils doivent consacrer à leur jeune entreprise tout leur temps, en bossant comme des acharnés, quitte à y sacrifier leur vie personnelle. Et pour une grande majorité, ils travaillent bien plus que lorsqu’ils étaient salariés, pour des rentrées d’argent souvent bien faibles.

Franchement, je n’ai pas traversé tout ce que j’ai vécu cette dernière année pour me retrouver dans une nouvelle situation de dépendance… mais cette fois à mon autonomie. Ce serait le comble !

Voilà les grandes lignes les amis et je vous retrouve vite pour vous parler des premiers résultats.